Origine de la vie : le ribose détecté dans une « comète artificielle »
Le ribose, un sucre à la base du matériel génétique des organismes vivants, a pu se former dans les glaces cométaires.
Le ribose, un sucre à la base du matériel génétique des organismes vivants, a pu se former dans les glaces cométaires.
L’altération en laboratoire de glaces de méthanol a permis d’identifier 33 composés ayant 1 à 6 atomes de carbone.
Le second principe de la thermodynamique et la sélection naturelle vus sous l’angle de la stabilité.
Une article interdisciplinaire fait le bilan de la recherche actuelle en exobiologie dans le journal « Space Science Reviews », couvrant les principales avancées et les principales perspectives dans le domaine.
Film présentant les activités menées au laboratoire par l’équipe d’Astrochimie du PIIM à Marseille.
La sublimation à haute température des acides aminés sur la Terre primitive a pu contribuer à l’amplification d’un excès énantiomérique initial.
Les molécules organiques présentes dans les comètes pourraient avoir joué un rôle dans l’émergence de la vie sur Terre.
Pourquoi et comment la glycine, acide aminé achiral, a pu jouer un rôle dans l’origine de l’homochiralité des systèmes vivants ?
La chimie du HCN et H2S, couplée avec un cycle photoredox du cuivre conduit à l’ensemble des monomères que l’on pense utiles à l’apparition de la vie.
Mise en évidence d’une sélectivité énantiomérique dans la synthèse de 5 acides aminés par photolyse de glaces.
Venus des quatre coins de la France, mais aussi des Etats-Unis et d’Italie, des jeunes chercheurs se sont rassemblés lors de ces premières journées nationales.
Si la vie est apparue sur Mars, elle a dû y rester extrêmement primitive du fait d’un manque de temps nécessaire au processus d’évolution.
Un cadre théorique cohérent est proposé pour rendre compte de la transition des systèmes chimiques usuels vers les systèmes vivants dans un article publié dans Open Biology.
Publication d’un dialogue entre science et philosophie au sujet de l’exobiologie
D’un monde à l’autre : rencontre entre un artiste et un exobiologiste.
Chaque année en février, un petit groupe de doctorants et chercheurs se réunit pour travailler sur la question de l’origine de la vie et de sa recherche ailleurs.
Des molécules biochimiques, telles que les « lettres » utilisées pour écrire le code de la vie sur Terre pourraient exister sur Titan, la plus grande lune de Saturne.
Dans le milieu interstellaire, l’azote se collerait sur les grains où des réactions de surface d’hydrogénation formeraient NH3.
Une équipe pluridisciplinaire a mis en évidence la présence de niches microbiennes dans le manteau océanique hydraté, environnements qui pourraient avoir hébergé les premières formes vivantes sur notre planète.
De l’Australie au Groenland, du fond de l’Atlantique aux confins de l’espace, les chercheurs traquent le moindre indice d’une activité biologique ancestrale.