Société Française d'Exobiologie
Identifier une structure qui ressemble à de la vie microbienne n’est pas aisé et affirmer avec certitude qu’il s’agit bien d’une vie microbienne peut s’avérer être encore plus difficile.
Influence de l’environnement hydrothermal de la Terre Primitive
Revoir le webinaire de Laurette Piani
Une équipe française découvre des traces d’acides aminés dans des roches océaniques profondes.
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Le projet STROMATA financé par l’ERC
The Palaeobiogeology Group (PPP Lab) of the University of Liège searches for collaborators (postdocs, spectroscopist)
Des microfossiles de près de 2 milliards d’années peuvent conserver une trace de leur composition moléculaire.
Un site privilégié pour étudier les limites de la vie microbienne, menacé de dégradation
Camille Cartier, doctorante à l’Université de Clermont-Ferrand décrit sa recherche en Exobiologie.
Sophie Dorizon, doctorante au LATMOS décrit sa recherche en Exobiologie
Benjamin Bultel, doctorant au Laboratoire de Géologie de Lyon décrit sa recherche en Exobiologie
Plusieurs souches de cyanobactéries sont capables de former des minéraux de carbonates de calcium à l’intérieur de leurs cellules alors que l’on pensait ce processus très rare jusqu’ici.
Venus des quatre coins de la France, mais aussi des Etats-Unis et d’Italie, des jeunes chercheurs se sont rassemblés lors de ces premières journées nationales.
Nicolas Bost parle de sa thèse au cœur d’un cratère de 20 km de diamètre, vestige de l’impact d’une météorite sur Terre il y a 200 millions d’années.
La détection d’opale associée avec de la matière carbonée par spectroscopie Raman pourrait constituer un indicateur de biogénécité pertinent pour la recherche de traces de vie passée sur Mars.
Marie Catherine Sforna, doctorante à l’IPGP décrit son parcours de doctorante en exobiologie.
Axelle Hubert, doctorante au CBM, décrit son parcours de doctorante en exobiologie.
L’équipe d’exobiologie du CBM vient de mettre en ligne le site web d’une collection de roches pour la préparation des futures missions spatiales
Une équipe pluridisciplinaire a mis en évidence la présence de niches microbiennes dans le manteau océanique hydraté, environnements qui pourraient avoir hébergé les premières formes vivantes sur notre planète.