L’évolution de la Terre : ce que disent les génomes …
Une équipe de chercheurs français indique que LUCA vivait à température modérée et remporte le prix La Recherche 2012.
Une équipe de chercheurs français indique que LUCA vivait à température modérée et remporte le prix La Recherche 2012.
Une équipe française vient d’annoncer la présence de la formamide autour d’une étoile analogue à notre Soleil. Cette découverte pourrait marquer une étape importante dans la compréhension de l’origine de la vie sur Terre.
La détection d’opale associée avec de la matière carbonée par spectroscopie Raman pourrait constituer un indicateur de biogénécité pertinent pour la recherche de traces de vie passée sur Mars.
Céline Brochier-Armanet fait l’état des lieux sur l’origine et l’évolution des microorganismes
Une recherche vient de mettre en évidence que le cyanamide (H2N–CN) est capable de jouer un rôle majeur dans l’assemblage d’acides aminés en peptides.
Par quelles voies chimiques ont pu se former les acides aminés, alors que les environnements astrophysiques sont particulièrement inhospitaliers ?
Un effondrement structurel dans les glaces interstellaires faciliterait le déplacements de réactifs permettant la formation de molécules organiques complexes.
Le glycolaldéhyde est un précurseur des sucres nécessaires à l’apparition de la vie sur Terre. Il vient d’être détecté dans la région de formation d’une étoile similaire à notre Soleil.
Des molécules biochimiques, telles que les « lettres » utilisées pour écrire le code de la vie sur Terre pourraient exister sur Titan, la plus grande lune de Saturne.
Les bactéries de la souche GFAJ-1 résistent à l’arsenic, sans pour autant l’incorporer dans leur ADN.
Dans le milieu interstellaire, l’azote se collerait sur les grains où des réactions de surface d’hydrogénation formeraient NH3.
L’expérience PROCESS (PRebiotic Organic ChEmistry on Space Station) sur EXPOSE a consisté à exposer des échantillons composés essentiellement de molécules organiques pendant 18 mois en 2008 et 2009 à l’extérieur de la station spatiale internationale.
Une étude prédit que des liaisons covalentes sont requises pour construire des échafaudages moléculaires et qu’une source d’énergie au moins équivalente à de la lumière visible doit alimenter le système en énergie.
Une équipe de chercheurs du LISA passe en revue les différentes approches qui sont suivies pour étudier Titan et sa chimie quasi-prébiotique
Les premières molécules de la vie se forment naturellement dans les comètes.
La chimie à l’œuvre dans l’atmosphère et à la surface de Titan semble particulièrement complexe et elle pourrait nous renseigner sur des processus d’évolution des molécules carbonées, dont certaines constituent les briques de base du vivant tel qu’on le connaît sur Terre.
Une équipe pluridisciplinaire a mis en évidence la présence de niches microbiennes dans le manteau océanique hydraté, environnements qui pourraient avoir hébergé les premières formes vivantes sur notre planète.
Une équipe de chercheurs français a formé de l’aminoacétonitrile en simulant les conditions astrophysiques des glaces du milieu interstellaire.
De l’hydantoïne a été obtenue en laboratoire dans des conditions similaires à celles existant au sein des glaces interstellaires.
C’est dans le sous-sol Martien primitif que se trouvaient probablement les conditions les plus propices à l’émergence, voire au développement de la vie.